9 août 2019
la série noire des actes cruels de Trump à l'égard des enfants de migrants se poursuit et s'aggrave:
- le couple Trump pose pour une photo à l' hôpital d'El Paso quelques jours après le massacre de personnes hispaniques par un suprémaciste blanc se réclamant du tueur de Christchurch et de la guerre contre le prétendu " grand remplacement" . Mais comme aucun des rescapés ne voulait figurer avec le couple Trump, ceux-ci ont fait réquisitionner un bébé orphelin qui ne pouvait pas refuser. On voit ainsi le couple poser de manière grossière avec ce petit orphelin ramené à l'hôpital afin de servir de faire-valoir à la mise en scène atroce de celui qui dénonce sans cesse l"invasion" des migrants mexicains.
- Au même moment, cinq jours après le massacre raciste d'El Paso, la police de l'immigration (ICE) procède à une rafle de plusieurs centaines de travailleurs migrants dans le Mississipi. De nombreux enfants de ces salariés ont été séparés de leurs parents à cette occasion et souffrent de manifestations post-traumatiques
Memorial 98
26 juin 2019
La découverte des corps de Oscar Martinez et de sa fille de 23 mois Valeria, morts en traversant la frontière, illustre les conséquences de la politique de répression de Trump à l'encontre des migrants. Ce dernier ose déclarer qu'il a de la peine mais que la mort de ces personnes est de la faute des Démocrates qui combattent sa politique.
On ne peut que penser au petit Aylan Kurdi, mort en septembre 2015 sur une plage de Turquie à l'âge de trois ans.
Le gouvernement mexicain, qui se réclame du progressisme et de la gauche depuis l'élection récente du président Lopez Obrador, est également responsable de ce drame, après avoir accepté de céder au diktat du président US visant à imposer des taxes sur les importations.
On ne peut que penser au petit Aylan Kurdi, mort en septembre 2015 sur une plage de Turquie à l'âge de trois ans.
Le gouvernement mexicain, qui se réclame du progressisme et de la gauche depuis l'élection récente du président Lopez Obrador, est également responsable de ce drame, après avoir accepté de céder au diktat du président US visant à imposer des taxes sur les importations.
En même temps les révélations se multiplient sur les conditions effroyables dans lesquelles sont séquestrés les enfants de migrants arrêtés par les policiers.
De nombreuses mobilisations se développent aux États-Unis. Le chef de la police aux frontières a été contraint de démissionner. Ainsi les employés de la société Wayfair, qui ont découvert que leur société fournit des meubles aux centres de détention, organisent une grève et des manifestations afin d'exiger la fin de ce business.
Mise à jour du 31 mai 2019
Trump se déchaîne contre le Mexique et le menace de dures représailles. Il accuse les autorités de ce pays de ne pas agir assez violemment contre les migrants. En riposte il veut augmenter les taxes sur tous les produits mexicains entrant aux USA, ce qui provoquera de graves difficultés économiques dans un pays qui dépend de ses exportations vers son voisin. La rage de Trump renvoie au tout début de sa campagne électorale présidentielle.
Le 16 juin 2015; lors de son annonce de candidature, il s'en est immédiatement pris aux migrants mexicains en ces termes: "Quand le Mexique nous envoie ses gens, ils n’envoient pas les meilleurs éléments. Ils envoient ceux qui posent problème. Ils apportent avec eux la drogue. Ils apportent le crime. Ce sont des violeurs." Le ton est donné. "Je vais construire un grand mur sur notre frontière sud, et le Mexique paiera pour le construire. Prenez-en bien note."
Cet homme est un fasciste violent et dangereux
Memorial 98
Yanela Sanchez en pleurs
Mise à jour du 12 avril 2019
Le cliché d’une petite fille hondurienne en larmes, Yanela Sanchez, le regard tourné vers sa mère fouillée par un agent à la frontière américaine, a remporté le prix de la photo de l’année du prestigieux World Press Photo. Cette image, capturée en juin 2018 par John Moore, montre Sandra Sanchez et sa fille Yanela, alors qu’elles sont appréhendées par des officiers après avoir traversé illégalement la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Yanela figure également sur le photo-montage de la couverture du magazine Time qui a fait connaître le sort dramatique des enfants victimes des décisions de Trump.
Ce dernier poursuit sa croisade et vient de déclarer récemment à la frontière mexicaine que "le pays (US) est complet" déclaration absurde et mensongère immédiatement démentie par de nombreux élus.
Il se vérifie une fois de plus que Trump est le modèle et l'inspirateur des campagnes de haine raciste diffusées partout dans le monde.
Trump se déchaîne contre le Mexique et le menace de dures représailles. Il accuse les autorités de ce pays de ne pas agir assez violemment contre les migrants. En riposte il veut augmenter les taxes sur tous les produits mexicains entrant aux USA, ce qui provoquera de graves difficultés économiques dans un pays qui dépend de ses exportations vers son voisin. La rage de Trump renvoie au tout début de sa campagne électorale présidentielle.
Le 16 juin 2015; lors de son annonce de candidature, il s'en est immédiatement pris aux migrants mexicains en ces termes: "Quand le Mexique nous envoie ses gens, ils n’envoient pas les meilleurs éléments. Ils envoient ceux qui posent problème. Ils apportent avec eux la drogue. Ils apportent le crime. Ce sont des violeurs." Le ton est donné. "Je vais construire un grand mur sur notre frontière sud, et le Mexique paiera pour le construire. Prenez-en bien note."
Cet homme est un fasciste violent et dangereux
Memorial 98
Yanela Sanchez en pleurs
Mise à jour du 12 avril 2019
Le cliché d’une petite fille hondurienne en larmes, Yanela Sanchez, le regard tourné vers sa mère fouillée par un agent à la frontière américaine, a remporté le prix de la photo de l’année du prestigieux World Press Photo. Cette image, capturée en juin 2018 par John Moore, montre Sandra Sanchez et sa fille Yanela, alors qu’elles sont appréhendées par des officiers après avoir traversé illégalement la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Yanela figure également sur le photo-montage de la couverture du magazine Time qui a fait connaître le sort dramatique des enfants victimes des décisions de Trump.
Ce dernier poursuit sa croisade et vient de déclarer récemment à la frontière mexicaine que "le pays (US) est complet" déclaration absurde et mensongère immédiatement démentie par de nombreux élus.
Il se vérifie une fois de plus que Trump est le modèle et l'inspirateur des campagnes de haine raciste diffusées partout dans le monde.
Mise à jour du 25 janvier 2019
Trump battu, ne renonce pas: après 34 jours de
shut-down, il
est contraint de reculer. Il doit renoncer temporairement à imposer au
Congrès le financement de son mur. La mise au chômage d'une partie des agents
du service public lui est attribuée par la population alors que la
nouvelle majorité démocrate de la Chambre des représentants a résisté à ses
assauts.
Mais le président US poursuit sa croisade
et menace de recommencer le blocage de la fonction publique d'ici quelques
semaines, dès le 15 février.
MEMORIAL 98
Mise à jour du 25 décembre 2018
Un
autre enfant guatémaltèque meurt en détention aux USA. Cette fois-ci il
s'agit d'un petit garçon âgé de 8 ans, également détenu dans un centre de la
police des frontières dans l’État du Nouveau-Mexique comme Jackeline Caal
( voir ci-dessous).
Pendant ce temps, Trump bloque l'administration
de son pays par un "shut-down". Celui-ci destiné à imposer le vote
par le Sénat d'une somme de cinq milliards de dollars afin de construire la
fameuse barrière ou mur à la frontière du Mexique. Le président US proclame
ainsi à nouveau à la face de son pays et du monde entier, qu'il s'attache
stigmatiser et à persécuter les migrants. C'est l'orientation que suivent
scrupuleusement les partis d'extrême-droite dans leurs campagnes politiques et
au pouvoir lorsqu'ils y accèdent.
Memorial 98
Mise à jour du 14 décembre 2018
La persécution continue des enfants de migrants par Trump a entraîné la mort d'une petite fille guatémaltèque de 7 ans.
La petite Jackeline Caal était
détenue dans un centre de la police des frontières dans l'Etat US du
Nouveau-Mexique après que ses parents aient franchi la front!ère. Sa mort
suite à un choc septique soigné avec retard rappelle la cruauté de la
politique mise en œuvre par le président US à l'encontre des migrants,
notamment ceux qui fuient la misère et la violence de l'Amérique latine.
Lors des dernières
semaines, des enfants et des familles ont du subir sur ordre de Trump qui
l'assume et le justifie, une
pluie de grenades lacrymogènes à la frontière avec le Mexique.
Des enfants fuient
devant les gaz lacrymogènes
Trump poursuit avec acharnement son projet de
mur à la frontière avec le Mexique.
Face au refus des élus démocrates au Congrès, il
envisage de faire construire la muraille par l'armée.
Cet homme est vraiment dangereux.
Memorial 98
Mise à jour du 21 juin 2018
Trump a été contraint de reculer, face à
l’ampleur des protestations aux USA et dans le monde entier. Il a du mettre fin
à la séparation systématique des enfants d'avec leur famille
Mais
l'incertitude continue de régner, notamment sur le sort des 2300 enfants déjà
séparés de leurs parents. Nous exigeons la libération immédiate de ces
enfants et de leurs familles. La violence exercée à leur encontre doit être
réparée. Nous continuons à diffuser et faire signer l'appel public dans
ce sens et qui a déjà recueilli plus de 500 signatures
MEMORIAL 98
Mise à jour du 20 juin:
Trump contraint de reculer. Face à l'énorme
scandale soulevé par la séparation des enfants de migrants et aux très
nombreuses protestations dans le monde entier, le
président US publie un nouveau décret.
Selon ses termes, il n'y aurait plus de
séparation, pourtant jugée légitime par le même Trump et ses ministres.
Connaissant les ruses et mensonges du président US, nous appelons à pour suivre
et étendre la signature et la diffusion de notre appel ci-dessous, déjà soutenu
par 300 personnes.
Votre signature est précieuse ainsi que la
diffusion de la pétition autour de vous.
Dans notre pays également,
des enfants se retrouvent dans des centres de rétention, avec leurs parents.
Les autorités françaises ont déjà été condamnées pour cela à plusieurs reprises
par la justice européenne. Avec la Cimade nous demandons que soit mis fin à
cette pratique indigne dont aucun enfant ne sort indemne ( pétition unitaire ici )
Nous exigeons à nouveau la libération immédiate
de tous les enfants et de leurs familles; pas d'enfants et de familles en
rétention!
Memorial 98
Ne laissons pas l'agitateur
raciste Trump maintenir en détention des enfants dont le seul tort est
d'être des enfants de migrants. Protestons en signant la pétition qui lui
adressée. Macron doit aussi se prononcer
Signons la pétition initiée par Memorial 98 et
diffusons la afin d'arracher la libération des enfants emprisonnés et de leurs
familles:
Horreur aux USA. Des enfants âgés de 4 à
10 ans, récemment séparés de leur famille , pleurent en appelant leurs
parents. Environ deux mille enfants sont actuellement placés dans des centres
de rétention fermés aux USA pendant que leurs parents migrants sont emprisonnés
dans l’attente d’un jugement.
C’est ce que l’on entend dans l’enregistrement
récupéré par le média d’investigation américain ProPublica.
On entend des pleurs, et un enfant qui demande
en sanglots : "Je veux partir avec ma tante, je veux qu'elle
vienne".
L'enfermement de ces enfants viole tous les
droits humains et les conventions internationales.
Il doit y être mis fin immédiatement.
Nous exigeons: Mr Trump, libérez
immédiatement les enfants !
Mr l'Ambassadeur des USA en France,
transmettez notre protestation; Mr le Président Macron joignez vous à nous afin
de réclamer la libération des enfants!
Trump ne se contente pas de traquer les
familles de migrants et de les séparer, il incite également à la persécution
raciste en Europe et attaque
le gouvernement allemand, coupable à ses yeux d'être trop accueillant.
Toute sa campagne électorale a été dominée par la dénonciation
violente des migrants.
L'Internationale raciste se développe et se
structure de Rome à Vienne et de Budapest à Washington.
Ainsi Marine
Le Pen stigmatise les parents des enfants emprisonnés et soutient
Trump.
Dans notre pays également, des enfants se
retrouvent dans des centres de rétention. Les autorités françaises ont déjà été
condamnées pour cela à plusieurs reprises par la justice européenne. Avec la
Cimade nous demandons que soit mis fin à cette pratique indigne dont aucun
enfant ne sort indemne ( pétition unitaire ici )
Face
à la vague xénophobe, construisons la riposte de la solidarité.
MEMORIAL 98
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