mardi 19 juin 2018

Trump mène une guerre cruelle contre les migrants et leurs enfants.


9 août 2019
la série noire des actes cruels de Trump à l'égard des enfants de migrants se poursuit et s'aggrave:

- le couple Trump pose pour une photo à l' hôpital d'El Paso quelques jours après le massacre de personnes hispaniques par un suprémaciste blanc se réclamant du tueur de Christchurch et de la guerre contre le prétendu " grand remplacement" . Mais comme aucun des rescapés ne voulait figurer avec le couple Trump, ceux-ci ont fait réquisitionner un bébé orphelin qui ne pouvait pas refuser. On voit ainsi le couple poser de manière grossière avec ce petit orphelin ramené à l'hôpital afin de servir de faire-valoir à la mise en scène atroce de celui qui dénonce sans cesse l"invasion" des migrants mexicains. 
 
 - Au même moment,  cinq jours après le massacre raciste d'El Paso,  la police de l'immigration (ICE) procède à une rafle de plusieurs centaines de travailleurs migrants dans le Mississipi. De nombreux enfants de ces salariés ont été séparés de leurs parents à cette occasion et souffrent de manifestations post-traumatiques

Memorial 98
26 juin 2019



La découverte des corps de Oscar Martinez et de sa fille de 23 mois Valeria, morts en traversant la frontière, illustre les conséquences de la politique de répression de Trump à l'encontre des migrants.  Ce dernier ose déclarer qu'il a de la peine mais que la mort de ces personnes est de la faute des Démocrates qui combattent sa politique.
On ne peut que penser au petit Aylan Kurdi, mort en septembre 2015 sur une plage de Turquie à l'âge de trois ans.


Le gouvernement mexicain, qui se réclame du progressisme et de la gauche depuis l'élection récente du président Lopez Obrador, est également responsable de ce drame, après avoir accepté de céder au diktat du président US visant à imposer des taxes sur les importations.
De nombreuses mobilisations se développent aux États-Unis. Le chef de la police aux frontières a été contraint de démissionner.
Ainsi les employés de la société Wayfair, qui ont découvert que leur société fournit des meubles aux centres de détention, organisent une grève et des manifestations afin d'exiger la fin de ce business.  
 


Mise à jour du 31 mai 2019



Trump se déchaîne contre le Mexique et le menace de dures représailles. Il accuse les autorités de ce pays de ne pas agir assez violemment contre les migrants. En riposte il veut augmenter les taxes sur tous les produits mexicains entrant aux USA, ce qui provoquera de graves difficultés économiques dans un pays qui dépend de ses exportations vers son voisin. La rage de Trump renvoie au tout début de sa campagne électorale présidentielle.
Le 16 juin 2015; lors de son annonce de candidature, il s'en est immédiatement pris aux migrants mexicains en ces termes: "Quand le Mexique nous envoie ses gens, ils n’envoient pas les meilleurs éléments. Ils envoient ceux qui posent problème. Ils apportent avec eux la drogue. Ils apportent le crime. Ce sont des violeurs." Le ton est donné. "Je vais construire un grand mur sur notre frontière sud, et le Mexique paiera pour le construire. Prenez-en bien note." 

Cet homme est un fasciste violent et dangereux 
Memorial 98 




                                      Yanela Sanchez en pleurs

 Mise à jour du 12 avril 2019

Le cliché  d’une petite fille hondurienne en larmes, Yanela Sanchez, le regard tourné vers sa mère fouillée par un agent à la frontière américaine, a remporté le prix de la photo de l’année du prestigieux World Press Photo. Cette image, capturée en juin 2018 par John Moore,  montre Sandra Sanchez et sa fille Yanela, alors qu’elles sont appréhendées par des officiers après avoir traversé illégalement la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Yanela figure également sur le photo-montage de la couverture du magazine Time qui a fait connaître le sort dramatique des enfants victimes des décisions de Trump
Ce dernier poursuit sa croisade et vient de déclarer récemment à la frontière mexicaine que "le pays (US) est complet" déclaration absurde et mensongère immédiatement démentie par de nombreux élus.
Il se vérifie une fois de plus que Trump est le modèle et l'inspirateur des campagnes de haine raciste diffusées partout dans le monde.  




 






















Mise à jour du 25 janvier 2019

Trump battu, ne renonce pas: après 34 jours de shut-down, il est contraint de reculer. Il doit renoncer temporairement à imposer au Congrès le financement de son mur. La mise au chômage d'une partie des agents du service public lui est attribuée par la population alors que la  nouvelle majorité démocrate de la Chambre des représentants a résisté à ses assauts.
Mais le président US poursuit  sa croisade et menace de recommencer le blocage de la fonction publique d'ici quelques semaines, dès le 15 février.

MEMORIAL 98


 Mise à jour du 25 décembre 2018

Un autre enfant guatémaltèque meurt en détention aux USA. Cette fois-ci il s'agit d'un petit garçon âgé de 8 ans, également détenu dans un centre de la police des frontières dans l’État  du Nouveau-Mexique comme Jackeline Caal ( voir ci-dessous).

Pendant ce temps, Trump bloque l'administration de son pays par un "shut-down". Celui-ci destiné à imposer le vote par le Sénat d'une somme de cinq milliards de dollars afin de construire la fameuse barrière ou mur à la frontière du Mexique. Le président US proclame ainsi à nouveau  à la face de son pays et du monde entier, qu'il s'attache stigmatiser et à persécuter les migrants. C'est l'orientation que suivent scrupuleusement les partis d'extrême-droite dans leurs campagnes politiques et au pouvoir lorsqu'ils y accèdent.

Memorial 98  


Mise à jour du 14 décembre 2018   

La persécution continue des enfants de migrants par Trump a entraîné la mort d'une petite fille guatémaltèque de 7 ans.
 
La petite Jackeline Caal  était détenue dans un centre de la police des frontières dans l'Etat US du Nouveau-Mexique après que ses parents aient franchi la front!ère.  Sa mort suite à un choc septique soigné avec retard  rappelle la cruauté de la politique mise en œuvre par le président US à l'encontre des migrants, notamment ceux qui fuient la misère et la violence de l'Amérique latine.     
Lors des dernières semaines, des enfants et des familles ont du subir sur ordre de Trump qui l'assume et le justifie, une pluie de grenades lacrymogènes à la frontière avec le Mexique. 






                                      
    Des enfants fuient devant les gaz lacrymogènes

Trump poursuit avec acharnement son projet de mur à la frontière avec le Mexique. 
Face au refus des élus démocrates au Congrès, il envisage de faire construire la muraille par l'armée.

Cet homme est vraiment dangereux.

Memorial 98

Mise à jour du 21 juin 2018

Trump a été contraint de reculer, face à l’ampleur des protestations aux USA et dans le monde entier. Il a du mettre fin à la séparation systématique des enfants d'avec leur famille
Mais l'incertitude continue de régner, notamment sur le sort des 2300 enfants déjà séparés de leurs parents. Nous exigeons la libération immédiate de ces enfants et de leurs familles. La violence exercée à leur encontre doit être réparée. Nous continuons  à diffuser et faire signer l'appel public dans ce sens et qui a déjà recueilli plus de 500 signatures 


MEMORIAL 98

Mise à jour du 20 juin:

Trump contraint de reculer. Face à l'énorme scandale soulevé par la séparation des enfants de migrants et aux très nombreuses protestations dans le monde entier, le président US publie un nouveau décret.
Selon ses termes, il n'y aurait plus de séparation, pourtant jugée légitime par le même Trump et ses ministres. Connaissant les ruses et mensonges du président US, nous appelons à pour suivre et étendre la signature et la diffusion de notre appel ci-dessous, déjà soutenu par 300 personnes.

Votre signature est précieuse ainsi que la diffusion de la pétition autour de vous.
Dans notre pays également, des enfants se retrouvent dans des centres de rétention, avec leurs parents. Les autorités françaises ont déjà été condamnées pour cela à plusieurs reprises par la justice européenne. Avec la Cimade nous demandons que soit mis fin à cette pratique indigne dont aucun enfant ne sort indemne ( pétition unitaire ici )

 

Nous exigeons à nouveau la libération immédiate de tous les enfants et de leurs familles; pas d'enfants et de familles en rétention!


Memorial 98




Ne laissons pas l'agitateur raciste Trump maintenir en détention des enfants dont le seul tort est d'être des enfants de migrants. Protestons en signant la pétition qui lui adressée. Macron doit aussi se prononcer
Signons la pétition initiée par Memorial 98 et diffusons la afin d'arracher la libération des enfants emprisonnés et de leurs familles: 
Horreur aux USA. Des enfants âgés de 4 à 10 ans, récemment séparés de leur famille , pleurent en appelant leurs parents. Environ deux mille enfants sont actuellement placés dans des centres de rétention fermés aux USA pendant que leurs parents migrants sont emprisonnés dans l’attente d’un jugement.

C’est ce que l’on entend dans l’enregistrement récupéré par le média d’investigation américain ProPublica.
On entend des pleurs, et un enfant qui demande en sanglots : "Je veux partir avec ma tante, je veux qu'elle vienne".
L'enfermement de ces enfants viole tous les droits humains et les conventions internationales.
Il doit y être mis fin immédiatement. 
Nous exigeons: Mr Trump, libérez immédiatement  les enfants ! 
Mr l'Ambassadeur des USA en France, transmettez notre protestation; Mr le Président Macron joignez vous à nous afin de réclamer la libération des enfants!
Trump ne se contente pas de traquer les familles de migrants et de les séparer, il incite également à la persécution raciste en Europe et attaque le gouvernement allemand, coupable à ses yeux d'être trop accueillant. Toute sa campagne électorale a été dominée par la dénonciation violente des migrants
L'Internationale raciste se développe et se structure de Rome à Vienne et de Budapest à Washington.
Ainsi Marine Le Pen stigmatise les parents des enfants emprisonnés et soutient Trump.

Dans notre pays également, des enfants se retrouvent dans des centres de rétention. Les autorités françaises ont déjà été condamnées pour cela à plusieurs reprises par la justice européenne. Avec la Cimade nous demandons que soit mis fin à cette pratique indigne dont aucun enfant ne sort indemne ( pétition unitaire ici )

Face à la vague xénophobe, construisons la riposte de la solidarité. 


MEMORIAL 98









vendredi 1 juin 2018

Trump au coeur de l'extrême-droite mondiale.


 



America First , le mot d’ordre central du président US, provient du mouvement pro-nazi des années 1930 et 40 aux USA. Il a été lancé par le parti républicain dans les années 1920, mais sa notoriété est liée à son utilisation intensive en faveur de la neutralité à l'égard du nazisme. 
Le slogan a notamment été promu par l’organisation du même nom « America First Committee », fondée en septembre 1940, dont l’aviateur Charles Lindbergh, antisémite enragé et admirateur d'Hitler, était le porte-parole. Elle militait contre l’engagement américain dans la Seconde Guerre mondiale et favorisait une alliance avec les nazis.


                      Lindbergh décoré par Goering en 1938 à Berlin    


Lindbergh estimait ainsi que “la démocratie était finie en Europe, que les puissances occidentales ne pouvaient pas résister face à la machine de guerre nazie et que les États-Unis avaient intérêt à pactiser avec Adolf Hitler”

En septembre 1941, lors d'un meeting d' « America First », Lindbergh précise, lors d'un discours demeuré célèbre par son infamie: « Qui sont les agitateurs bellicistes ?( c'est à dire en faveur d'une guerre contre les nazis)" et répond immédiatement  " les Britanniques, les Juifs et l'administration Roosevelt", reprenant ainsi les cibles de la propagande hitlérienne. 

Le grand écrivain Philip Roth, récemment décédé, a imaginé dans son roman "uchronique" intitulé Le Complot contre l'Amérique l'accession au pouvoir de Lindbergh et ses conséquences. 
« America First » a également représenté le nom d’un parti nationaliste créé en 1944 et mené par le pasteur pro-nazi Gerald L.K. Smith. 

Cette expression a donc été ensuite taboue dans la vie politique américaine, car elle était ainsi associée à la neutralité envers le nazisme. Elle a été reprise uniquement par le politicien Pat Buchanan, héraut des courants "faucons " et antisémite notoire. Il a d'ailleurs battu Donald Trump pour l'investiture du Reform Party en 2000.

Le slogan a ensuite refait surface 2016 lors de la campagne présidentielle de Donald Trump, qui en a fait le mot d'ordre central de son programme isolationniste. Il a même utilisé deux fois cette expression lors de son discours d'investiture et la reprend souvent lors de ses meetings, associé à son autre mantra nationaliste " Make America great again" .

Il sert aussi de bannière aux groupes racistes violents, tels le Ku Klux Klan qui prospèrent à l'ombre de Trump. Ils ont fait campagne pour lui et il les  notamment soutenus lors de la tuerie de Charlottesville
http://info-antiraciste.blogspot.com/2017/08/charlottesville-chronique-dun-meurtre.html
                                                               Un groupe du KKK



Ce slogan représente en fait le concentré du nationalisme agressif qui caractérise toutes les partis et mouvances d’extrême-droite aux USA et dans le monde entier.Il est repris et défendu par Marion Maréchal, star montante de l'extrême droite et incarnation du fascisme new-look,

Ainsi lors de son discours devant le congrès conservateur de Washington, le 22 février 2018, elle déclarait :  « Ça ne me choque pas quand Donald Trump dit ''America First'' . En fait, je suis pour l’Amérique d’abord pour le peuple américain, je suis pour la Grande-Bretagne d’abord pour les citoyens britanniques et je veux ''La France d’abord'' pour le peuple français ».
Et pour clarifier le contenu de ce approbation,  la fasciste new-look ajoutait « « après 40 ans d’immigration massive, de lobbyisme islamique et de politiquement correct, la France est en train de passer de fille aînée de l’Eglise catholique à petite-nièce de l’islam »

Sous l'effet de la victoire électorale de Trump et du Brexit, les tenants de la régression nationaliste sont partout à l'offensive. Le gouvernement italien d'extrême-droite qui vient de se mettre en place en représente la manifestation la plus récente. Le dirigeant fasciste Salvini, ministre de l'Intérieur et traqueur de migrants, est un compagnon de route  de longue date de Poutine ,dont il arbore le portrait. En déplacement à Moscou, Salvini réclame la suppression des sanctions de l'Union européenne, décidées après l'annexion armée de la Crimée en 2014.


Contre cette vague qui nous menace toutes et tous, le combat pour la solidarité et contre la haine nationaliste sont plus que jamais d'actualité.  

Mise à jour du 19 juin 2019
Trump lance sa campagne électorale pour la présidentielle de 2020 lors d'un meeting à Orlando. Comme en 2016 il débute par une explosion de propagande raciste en menaçant d'expulsion immédiate les "  millions de sans-papiers" qui "envahissent " les USA. 

Memorial 98
Mise à jour du du 19 mars 2019

Bolsonaro et Trump affichent à nouveau leur complicité lors de la première visite à l'étranger du président fasciste du Brésil. Leurs congratulations alertent sur les dangers du développement de l'internationale noire du racisme.


Mise à jour du 1 janvier 2019 



Avec l'arrivée au pouvoir au Brésil du fasciste Bolsonaro, c'est une victoire supplémentaire de l'extrême-droite nationaliste, sexiste et raciste. 
Bolsonaro s’appuie sur les Églises évangéliques particulièrement puissantes dans son pays et sur le désir de revanche des classes aisées après les gouvernements du Parti des Travailleurs ( PT). 
Il se place explicitement dans la lignée de Trump, auquel il a sans cesse rendu hommage tout au long de sa campagne électoral. 
En retour Trump se précipite pour le féliciter pour son discours d'investiture et confirmer leur alliance politique. Le président US, entré en fonctions il y a deux ans, confirme son rôle de chef de file des politiciens d'extrême-droite au niveau mondial.

MEMORIAL 98








Mise à jour du 2018


L'envoi de colis explosifs à des personnalités démocrates et/ou  symbolisant particulièrement l'opposition à Trump témoigne d'une radicalisation particulièrement dangereuse. Cela avait débuté par Georges Soros, cible désignée de l'extrême-droite du monde entier.  
Malgré son appel formel contre la violence politique, Trump n'a en réalité jamais cessé de manier la dénonciation brutale de ceux qu'il désigne sous les termes les plus agressifs et orduriers. C'est notamment le cas des médias qui ne sont pas à ses ordres, mais également de Hilary Clinton et Barack Obama.  Le 18 octobre, dans le Montana, Trump a rendu hommage à un élu de son parti qui avait agressé physiquement un journaliste lors d'une élection partielle en 2017. 
Au moment où le fasciste Bolsanaro semble en position de gagner l'élection présidentielle au Brésil, l'alerte est plus que jamais d'actualité.



MEMORIAL 98



Mise à jour du 27 septembre 2018



Brett Kavanaugh, candidat ultra-conservateur de Trump à la Cour Suprême des USA, dont la nomination est destinée notamment à mettre en cause le droit à l'avortement, apparaît comme un agresseur sexuel et un violeur. 
Son mentor de la Maison-Blanche a encore frappé et a réussi à imposer son homme-lige. En revanche ce passage en force lui a fait perdre de nombreux suffrages, notamment dans l'électorat féminin, ce qui a contribué au succès des démocrates lors des élections parlementaires de mi-mandat.


Mise à jour du 18 juillet 2018 
Face au scandale provoqué par ses propos complaisants à l'égard de Poutine, Trump est contraint de reculer et de reconnaître que le pouvoir russe est intervenu durant la dernière campagne présidentielle aux USA. Il argue d'un prétendu lapsus qui aurait déformé ses propos. Cette volte-face se produit après celle qu'il a opéré sur les enfants de migrants séparés de leurs familles. Mais pour autant le président US ne renoncera pas à son alliance politique avec Poutine, basée sur les traits communs de leurs orientations et dirigée contre les pays européens que Trump décrit comme des "ennemis". Le duo #TrumPoutine va continuer à sévir.

MEMORIAL 98
 


Mise à jour du 17 juillet 2018 

Trump décrète des sanctions commerciales étendues au nom de son slogan « America First » (« L’Amérique d’abord »). Il s'attaque avant tout à l'Union Européenne, veut imposer par la menace un Brexit dur et s'entend avec Poutine.Il protège ce dernier contre les preuves d'intervention des hackers russes dans sa campagne présidentielle.

Le duo Trump-Poutine, ou carrément #TrumPoutine, représente un grave danger au niveau mondial. L'un et l'autre soutiennent les partis d'extrême-droite en Europe et leurs campagnes racistes. Ils aspirent à un nouveau partage du monde, comme celui qui fut mis en place par les accords de Yalta d'après la deuxième guerre mondiale. 

Dans ce cadre, Poutine pourra renforcer sa mainmise sur la Syrie et sur la Crimée, alors que Trump se concentrera sur les mesures "protectionnistes" tirées de America First et des accords commerciaux bilatéraux.




MEMORIAL 98