Le 27 juin 2013, 93 165 signatures, collectées en deux mois, avaient
été remises par des représentants d’Amnesty International et de la
communauté rom à Viviane Reding, vice présidente de la Commission
européenne afin de l’inciter à prendre position en engageant une
procédure d’infraction à l’égard des pays qui continuent à avoir une
politique discriminatoire envers les Roms.
Une
étape importante est franchie aujourd’hui avec la décision de la
Commission de mettre en cause la République Tchèque. L’objectif
poursuivi est de contraindre les autorités de cet Etat à rendre des
comptes et à plus long terme à mettre en place une réforme en profondeur
pour mettre fin à un système discriminatoire basé sur l'appartenance
ethnique des élèves.
Lire la suite sur le site d'Amnesty
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